Situé derrière la gare, cet imposant bâtiment aux briques grisâtres semble peu accueillant, avec ses hautes fenêtres étroites et ses grilles d'acier qui interdisent l'entrée à quiconque n'est pas un employé du site. A l'intérieur, dans le fracas des machines et des voix, les trains qui parcourent Telgram sont assemblés par les mains noircies par le travail qui s'interrompent lorsque le gong qui marque la pause résonne à travers l'espace.