Cornelius Nethersole

NOM ❧ Nethersole PRÉNOMS ❧ Cornelius SURNOM(S) ❧ None ÂGE ❧ 25 ans je crois EN CE MOMENT JE SUIS A ❧ Balgram depuis quelques jours ORIENTATION SEXUELLE ❧ Pansexuel STATUT CIVIL ❧ Célibataire. CLASSE SOCIALE ❧ Attaché solidement à la classe pauvre. MÉTIER ET/OU ÉTUDES ❧ Travaillait comme homme à tout faire dans l'école de droit, désormais n'a plus de métier.  GROUPE ❧ Boussole SOSIE ❧ Jesse Eisenberg

Caractère

Altruiste – Gentil – Intelligent – Minutieux – Sec – Juste – Possessif

Cornelius est quelqu'un de compliqué, il aime quand tout est bien fait, au millimètre près. Il aime que tout soit carré, pourtant le désordre ambiant dans sa tête il ne s'en occupe pas. Il est une personne qui aura tendance à ne pas mâcher ses mots et prendre des gants, quand il doit dire quelque chose, il le dit, peu importe la gravité. Il considère que les gens ne sont pas fait en sucre. Malgré cela il reste objectif et aime quand la justice est rendu, il ne fera que ce qu'il considère juste. C'est pour ça qu'il est bon avec les amputés, il considère qu'aucun ne mérite son sort. Il est bon avec toute personne qu'il pense digne de sa gentillesse. Il ne lui arrive jamais d'être méchant pour être méchant. Il reste cependant un humain et n'aime pas franchement voir les personnes auxquelles il tient aller voir ailleurs. Ce trait de caractère est, chez lui, assez prononcé.

 

Questions

CE QUE JE PENSE DE LA POUSSIÈRE ❧ La Poussière c'est quelque chose d'abstrait, on ne sait pas grand chose de fiable. On ne peut faire que des hypothèses. J'ai lu le traité d'Hiras Lilaten. Je l'ai trouvé passé, nous n'avons pas la possibilité d'affirmer ce qui est écrit. Je préfère pour l'instant n'en dire que ce qui est sur, c'est à dire rien du tout. Je n'en passe pas moins que rien, mais si elle me permet de retrouver Irwin, alors j'y croirais dur comme fer et je chercherais jusqu'à ma mort.

CE QUE JE PENSE DE L'AUTRE COTE ❧ L'Autre côté, avant je n'en pensais rien, c'était un endroit cruel où on envoyait les prisonniers. Mais, quand j'y suis arrivé, j'ai découvert une population d'être étrange, mais pas beaucoup plus fous que moi. Enfin je crois, on raconte que toute personne là-bas est folle. Mon père l'était, mais raisonnablement. Raisonnablement fou, c'est drôle comme formulation. Bref, c'est un endroit où il y a des champs de thé à foison et des personnages hauts en couleurs. Peut-être un peu fou. Comment ça je me contredis ?

CE QUE JE PENSE DES AMPUTES ❧ Une atrocité. Ils ont vécu la pire chose qui soit, je l'ai vécu aussi. Ils ne sont pas tous mauvais, mais on les prive de ce qui est le plus cher à leurs yeux. Ils sont punis trop sévèrement, inhumainement, et ne s'intégrerons plus jamais dans Telgram. Il n'existe pas d'Homme totalement responsable de ses actes, et il n'existe pas de justice infaillible au point, de dire qu'un Homme mérite d'être privé de son daemon. Aussi terrible ou odieux que soit l'acte commis, personne ne peut-être totalement coupable. La justice est humaine, et par conséquent, faillible.

HRP: Inspiré par Robert Badinter.

NOM DU DAEMON ❧ Irwin APPARENCE ❧ Albatros Hurleur. Elle a tout d'élégant, ses grandes ailes aux rebords noir charbon. Le reste de son plumage si blanc, sa grande taille et ses pattes palmés, son bec crochu à la pointe et sa magnificence quand elle vole et qu'on la confond avec un nuage à cause de sa taille. QUAND S'EST-IL FIXE ❧ Il devait avoir 18 ans. POURQUOI CETTE FORME ❧ Irwin est un albatros, sa couleur si pur aussi bien que sa force son comme le fond de Cornelius. Il est comme un albatros, mal à l'aise sur terre, mais si beau quand il est libre. Irwin en volant a la liberté que Cornelius n'a pas, restant sur terre comme un oiseau à qui l'on aurait coupé les ailes.  S'IL DEVAIT CHANGER D'APPARENCE ❧ Un cheval de trait, pour porter sur lui la personne qui est lié à elle. Tout aussi blanc, il serait puissant comme le battement d'ailes d'un albatros.

Caractère

Franche – Laconique – Fière – Impulsive – Calme – Courageuse – Stricte
Irwin est un être très honnête, on ne pourrait pas dire qu'elle ment jamais, mais elle ment rarement. Sa parole est d'or, précieuse car elle pèse chaque mot pour être efficace. Elle n'intervient que quand elle sent qu'une remarque a besoin d'être faite. Cela lui donne un aire stricte de mère, et son calme presque constant appuie sur ce point. Mais elle fait ce que lui dicte son cœur, elle ne réfléchi pas à deux fois si elle doit sauver quelqu'un. Elle sacrifierait tout ce qu'elle a pour faire vivre Cornelius. Irwin est un albatros assez fière d'elle même, elle déteste qu'on la confonde avec une mouette ou qu'on l'insulte, mais gardera la tête haute tout en prétendant snob qu'elle est « La bave du crapaud hideux n'atteindra pas le grand albatros ». Elle peut paraître exécrable parfois, par ses manières de duchesse, mais elle est la voix de la liberté de penser pour Cornelius. Elle agit comme une mère et le dispute parfois, mais elle lui obéit au doigt et à l’œil, par simple respect pour lui.  

 

Anecdotes

❧ Le thé a vraiment bon gout. ❧ Les fleurs sont d'une très bonne compagnie de l'Autre coté. ❧ La justice de Telgram est détestable. ❧ Je n'ai jamais eu d'amis autre qu'Irwin à Belgram. ❧ Mon père est un amputé, il a été accusé d'avoir tué ma mère, ce qui c'est avéré faux. Les juges s'en sont aperçu trop tard. ❧ Je déteste les chats. ❧ J'aimais beaucoup la boutique de Baba, tout ses trésors sentaient le thé. ❧ Je tourne la tête et claque la langue contre mon palais quand je ne suis pas d'accord avec quelqu'un. ❧ Je ne mens jamais. ❧ Enfant je pleurais beaucoup quand j'étais avec mon père. ❧ Quand je stresse, j'ai des tic. ❧ J'étais toujours premier de la classe ❧ Je me gratte la tête quand je réfléchis. ❧ Je suis tombé de ma fenêtre parce que je voulais voler avec Irwin. ❧ Irwin déteste tout ce qui n'est pas du poisson. ❧ Je chante comme un canard cancéreux. ❧  

La petite histoire

   Il était là, grand, fort, la puissance dans son regard comme dans ses muscles bandant tandis qu'il parcourait à vive allure dans cette mer de brume. Le ciel brillant, aveuglant, pourtant on ne pouvait relever aucune présence de bleu. Au sol, une fleur  violette, une magnifique fleur. Apparu sur le magnifique cheval galopant, un homme paraissant aussi géant que le cheval, tout aussi fort et puissant. La barbe broussailleuse de l'homme si propre, puis il prit un verre de vin qui flottait là, une nymphe de brume belle comme la fleur lui avait tendu. Alors sa barbe vit s'écouler dans son long, le rouge du vin, l'homme taché jeta alors le verre. La nymphe de brume coulait dans une marre rouge, le paysage y coula aussi. Une ombre entraîna la nymphe plus profond encore, alors que le barbu tentait de la faire remonter. Le cheval tomba, puis le reste suivi.
Un cri, le froid de la nuit ramena le jeune homme à la réalité. «  Encore ce rêve. »

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« Papa ! Papa ! » La voix perçante de l'enfant haut comme trois pommes raisonnait dans les oreilles du grand homme qui se trouvait à coté. L'enfant avait les yeux mouillés. « Les autres ont encore dit des méchantes choses. » Il pleurait presque. L'homme s'est accroupi face à l'enfant, caressant sa barbe brune, il avait un air ailleurs, pourtant il était là. Il avait un air endormi, pourtant il était éveillé. « Ah ? Et qu'est-ce qu'ils ont dit cette fois ? » La voix posé de l'homme fit calmer la respiration de l'enfant au bouclettes instantanément. « Ils ont encore dit que Irwin n'était qu'une mouette qui ne sait pas marcher. » Il avait reprit son calme, « Ils ont aussi dit que je devrait avoir honte d'être ton fils parce que tu n'as pas de Daemon. ». L'homme se crispa, ce n'était plus les yeux de son fils qui laissaient le portail entre l'air et les larmes ouvert désormais, c'était lui. Il prit son fils dans ses bras et le serra fort, très fort, presque trop. Un coup de bec arriva sur la tête du père, puis deux, puis trois, jusqu'à ce qu'il lâche. L'enfant s'excusa auprès de son père pour l'albatros, il chuchota « Irwin, pourquoi tu as fait ça, tu vois bien qu'il est triste. ». Irwin se contenta de voler sur la tête de Cornelius, ignorant ses reproches.  

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« Cornelius ! » Hurla Irwin, « Mais qu'est-ce que tu fais enfin ? ». Elle volait au dessus de l'adolescent, il avait la main en sang. On pouvait voir au sol un autre jeune homme, le nez couvert du liquide rouge et un peu tordu. Cornelius avait les points serrés. Il savait que quoi qu'il dise, ça sera le fautif, mais il ne pouvait plus se retenir. « Tais-toi Irwin. », l'albatros vexé se posa sur le rebord d'une fenêtre du bâtiment où étudiaient les jeunes. Cornelius s'accroupit, « Tu insulte à nouveau mon père et Irwin bouffe les yeux de ton serpent. » il reparti tendant le bras en l'air pour faire signe à Irwin de s'y poser, ce qu'elle fit. « Je suis à la fois contente que tu lui ai mit une raclée et en même temps en colère. Tu sais qu'on va avoir droit à une punition ? » Cornelius haussa les épaules, il avait les yeux humides. La violence est une chose qu'il déteste et la dernière fois qu'il l'a employé c'était quand un enfant à voulu couper les ailes d'Irwin. Cornelius a eu le droit à une belle punition.

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« Tu veux faire quoi plus tard Cornelius ? » dit ma professeur. « Je serais juge. », un camarade hurla haut et fort « Un fils d'amputé juge ? Laisser moi rire ! », et ils rigolèrent.

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« Irwin, ça va ? » La jeune albatros était  au sol, quelqu'un lui avait lancé un caillou qui lui est arrivé sur son petit crâne. Cornelius pleurait presque, il avait peur pour Irwin, parce qu'il savait que si c'était grave il n'aurait pas les moyens d'aller chez un docteur. « ça va, ça va. » Il eut un soupir de soulagement, elle monta sur sa tête.

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« Vous vouliez me dire quelque chose Monsieur ? », le professeur de droit de l'école où Cornelius travail comme homme à tout faire était très ouvert d'esprit. Ce professeur était aimant et presque paternelle envers Cornelius. Il travaillait, économisant pour un jour faire droit et apprendre. Il écoutait déjà les cours sans y être invité, ce professeur l'avait remarqué et dans sa bonté a aidé Cornelius. « Au fait, ton texte sur l'amputation est très intéressant. Tu as tes propres idées et ta propre expérience, c'est un plus. Mais fais attention à qui tu le montre, certains extrémistes pourraient mal le prendre. » Cornelius n'en avait pas grand chose à faire des extrémistes, mais en se disant qu'il allait suivre le conseil de son professeur, il pensait avant tout à éviter les ennuis à Irwin. « Merci Monsieur. » répondit poliment Cornelius. « N'oublie pas que si tu veux de l'aide, je suis là. » Il ne sera jamais ce que Cornelius comme un ami, plus comme un membre de la famille. Il est pour le jeune homme comme un deuxième père.

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« Fiston, je suis désolé de te demander ça, mais peux-tu aller me chercher du thé ? » Il en prenait de temps en temps, Cornelius le savait, mais ne s'en était jamais mêlé. Il savait que la douleur de son père était forte et que parfois il en avait vraiment besoin. Néanmoins, jamais il ne s'en était mêlé ou avait été le chercher pour lui. « Tu ne peux pas y aller ? » répondit le fils. Il savait bien qui lui vendait le thé, elle venait parfois ici. Cornelius l'appelait Baba, c'était une vieille marchande de trésors. Dans sa boutique officiel il y avait toute sorte de choses, dans sa boutique officieuse, toute sorte de thés. Irwin s'adressa à Cornelius, « Si on te voit il y a un risque pour ta carrière, si un jour tu veux faire des études de droit.  ». Cornelius le savait, mais il était trop bon. « Je suis malade, j'irais bien moi même, mais tu comprends, le temps court et je n'arrive pas à l'attraper. » il arrivait souvent au père de Cornelius de finir ses phrases sans qu'elles aient de sens. C'est une habitude qui le tient depuis son retour et Cornelius a appris à comprendre son père. Il sait que c'est quand il a vraiment besoin de thé qu'il se remet à parler comme ça. « D'accord. »

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« Coupable. » Le marteau claqua le bois. Cornelius était menotté, devant une audience qu'il ne pensait connaître qu'en temps que juge. Mais il venait de voir défiler une série de fausses preuves devant lui pendant plus de deux heures. Il avait eu le droit à un procès équitable avec une plume d'un coté de la balance et de l'autre, une pierre. Il avait été accusé du meurtre du professeur si aimant. Il est vrai qu'il s'est réveillé à coté du corps inerte de l'enseignant, ne sachant pas ce qu'il avait fait avant. Pourtant, Cornelius se savait incapable d’ôter la vie. Il avait envoyer son texte sur l'amputation, amélioré, au gouvernement et à quelques juges, mais il n'aurait pas penser l'avoir envoyer à des gens si mauvais pour faire un coup monté. Quoique, c'était tout à fait possible, le gouvernement ne voulait peut-être pas de toute cette justice sur les bras.
Irwin trônait sur la tête bouclé de Cornelius. Il sentait sa tristesse, et si les albatros avaient pu pleurer, il sait qu'elle l'aurait fait. Lui ne pleurait pas, il ne savait plus quoi dire, quoi penser.

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Le cri strident de Cornelius perçait les nuages pour revenir se heurter sur terre. Ses larmes coulaient, si bien qu'elles auraient pu faire une flaque. Une mer. Un océan. Il criait le nom de son albatros si cher à ses yeux. Il ne voulait qu'elle, sa seule et unique amie. Il ne voulait que revoir sa Irwin. Mais elle était parti, elle n'était plus à coté de lui, et il avait l'impression d'être vide. Ce trou d'aucune couleur qui se trouvait dans son âme, il voulait le reboucher, il mettait sa main sur le cœur, appelant sans cesse sa douce Irwin. Il avait mal. Très mal. Il était assis sur le chemin, mais sans savoir quel chemin, il avait le front contre le sol de ce chemin. Il voulait rentrer sous le sol, peut être le poids de la terre comblerait son manque. Non, rien ne pouvait combler son manque. Il avait besoin de retrouver ses couleurs. Il releva la tête et hurla une dernière fois. Puis il s'endormit un court instant, sur ce chemin. À son réveil, il vit une fleur sur le bord du chemin. La fleur violette de ses rêves. Il avait toujours envie de pleurer, mais rampai vers la fleur. « Bonjour mademoiselle la fleur, pouvez vous m'indiquer le chemin vers un sommier, s'il vous plaît ? », la
fleur lui répondit, et ainsi commença son aventure de l'Autre coté.

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La lumière si sombre du soleil de Telgram éclairait à nouveau son chemin. Il était rentré. On lui apprit la mort de son père et la vente de sa maison pour payer les dettes. Il ne pouvait plus vivre dans une maison. Il n'avait plus d'argent, plus de famille, plus... Irwin. Il avait soif de thé, mais Baba ne le laisserait pas en prendre. Il lui fallait la trouver, où habitait-elle déjà ? Balgram sentait le moisi, l'odeur des fleurs et leur compagnie, manquait terriblement à Cornelius.